Elle s'appelait Sarah - Tatiana de Rosnay

Publié le par safran-lit.over-blog.com

 

 

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Présentation de l'éditeur
Lorsque la police française fait irruption dans leur appartement en pleine nuit, Sarah enferme son petit frère dans un placard et emporte la clé, persuadée qu’elle reviendra le libérer très vite. Mais elle fait partie des milliers de juifs arrêtés lors de la rafle du Vel d’Hiv en juillet 1942.

Soixante ans plus tard, Julia Jarmond, journaliste d'investigation, retrouve sa trace. Dès lors, le visage de la petite fille ne la quitte plus. Contre l'avis de son mari – dont la famille cache un terrible secret –, elle veut à tout prix savoir ce qu’il lui est arrivé. La petite Sarah a-t-elle survécu ? Vit-elle peut-être encore ?

Dans ce magnifique roman, Tatiana de Rosnay évoque avec une intense émotion l’une des pages les plus sombres de l’histoire de la France et contribue à sa manière au devoir de mémoire.

3 CD, durée 3 h 05
Version abrégée autorisée par l’auteur
Lu par Odile Cohen, la voix française de Bridget Jones " --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

Biographie de l'auteur

Née en 1961, Tatiana de Rosnay est franco-anglaise. Elle vit à Paris avec sa famille. Journaliste, elle est l’auteur de dix romans, dont Elle s’appelait Sarah (prix Chronos, prix des lecteurs de Corse et prix des lecteurs-choix des libraires du Livre de Poche) et Boomerang.

 

Mon avis :

C'est un roman bouleversant autant sur le plan émotion (préparez vos mouchoirs!!!) que sur le plan historique. Replonger dans cette cruauté humaine, l'histoire du Vel d'Hiv,  qui a condamnée tant de femmes et d'enfants innocents, regretter et avoir honte des comportements de nos contemporains. Et se dire qu'en effet il ne faut pas oublier de peur de voir tout ce chaos recommencer...

L'écriture de l'auteure est simple et fluide, le lecteur est happé par l'histoire et n'en ressort certes pas indemne, ce qu'il faut absolument!

Publié dans Romans historiques

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M
<br /> je viens de le terminer. C'est vrai qu'il laisse des traces. Il est de la trempe du film "la rafle". Nous qui n'avons pas vécu cette triste période ne pouvons qu'avoir honte pour ce qui a été fait<br /> et la police française ne ressort pas grandie de ces récits.<br /> J'ai beaucoup aimé le style de ce roman qui nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.<br /> Bisous<br /> <br /> <br />
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